Le premier clip de nos 72h au Pérou est en ligne.
Malgré nos mésaventures, nous introduisons dans ce clip notre nouveau slider: il apporte une autre dimension aux videos!
Alors comme d’hab’, il n’est pas dispo ici dans cet espace blog, mais dans la page vidéo.
Vous pouvez le retrouver ici directement (ou en cliquant sur l’image).
72 heures au Pérou.
Et:
– un Canon 7D avec son objectif 10-22mm saisis par la douane dès l’arrivée à l’aéroport.
– une sévère intoxication alimentaire pour Claire, pendant 24h (pour 72h sur place, ça fait beaucoup)
– à 2 doigts de ne pas pouvoir entrer sur le site du Machu Picchu avec ma grosse caméra
Mais des paysages fabuleux et des gens débordant de gentillesse et non avares de sourires.
Bref, vous l’aurez compris, nous vécu 72h au Pérou vraiment très intenses émotionnellement.
Pour la première fois, nous sommes arrivés dans un pays avec l’envie de le quitter aussitôt après y être entrés.
Claire avait dans son sac les appareils 5D et 7D.
Or son statut d’hôtesse de l’air impose une limite d’un seul appareil photo. Et moi, non personnel naviguant, j’ai le droit de prendre 10 appareils avec moi… allez comprendre!
Non au courant de cette restriction, Claire passe la douane avec les 2 appareils… Et dans le mot douane, il y a « doigt »… oui, on nous l’a mis bien profond car le 7D et l’objectif 10-22mm ont été saisis… à jamais.
Les douaniers nous demandent 300$ pour récupérer l’appareil: nous refusons strictement, nous voulons juste le récupérer point barre.
Après 1 heure d’explications, nous sommes désabusés et acceptons finalement de payer les 300$ sauf qu’ils ne veulent plus. Comme ça. Non, pas comme ça : ils sont allés voir sur internet la fiche produit. Et ils se sont rendus compte que c’est une machine qui valait beaucoup d’argent…
La douane nous a donc volé 2000 euros de matériel.
C’est quelquechose qui va nous rester longtemps en travers de la gorge.
Alors comment réussir à continuer d’avoir l’envie de découvrir un pays qui nous joue un mauvais tour dès notre arrivée? Une fois arrivés à l’hotel, si on avait pu se téléporter directement sur Ménilmontant pour retrouver nos lapins, et bien nous l’aurions fait illico!
Il nous a fallu de la motivation pour continuer ces 72h, et surtout, nous étions avec une formidable équipe (l’équipage Air France de la rotation) qui a su nous pousser à passer outre ce (premier) incident.
Continuons encore sur les points noirs de cette escale péruvienne (avant de vite passer à du plus réjouissant): Claire a attrapé une sévère et très inquiétante intoxication alimentaire. Difficile de savoir l’origine, sans doute la collation à l’intérieur du train reliant le Machu Picchu à OlliantayTambo. Une soirée et une nuit affreuses et une journée complètement HS. Sur 72h, c’est dur. Là, pareil, envie de se téléporter direct, et d’envoyer balader le Pérou. Claire qui n’est jamais malade chope une intoxication dans le pays à la meilleure cuisine d’Amérique du sud…
Dernière grosse émotion qui aurait pu être une catastrophe: on me refuse l’entrée du Machu Picchu avec ma caméra… J’ai les yeux qui rougissent, c’est la cerise sur le McDo: comment voir une des 7 merveilles du monde sans caméra… je crois devenir fou. Finalement, après parlementation de notre guide avec un responsable, on m’autorisera à entrer sur le site avec la caméra, mais sans le trépied.
En fait, nous nous rendons compte que tout se joue toujours à peu de chose: pour la douane, si j’avais pris le sac cabine de Claire, nous aurions toujours le 7D. Et si j’étais entré au fichu Machu Picchu avec la caméra dans le sac, rien de cette histoire ne serait arrivé.
Car au Machu Picchu, j’avais le slider débordant du sac mais caché: j’ai donc pu fort heureusement l’utiliser car ils ne l’ont pas vu. Un bon point, histoire de se remonter le moral.
Beaucoup de mésaventures pour 72h sur place.
Mais heureusement, ce que nous avons vu valait vraiment, mais alors vraiment le détour (même si nous l’avons payé cher…).
Nous sommes donc partis direct de Lima pour rejoindre Cuzco: le but de ces 72h était de rallier le Machu Picchu. Et là, nous n’avons pas été déçus: ce site est considéré comme l’une des 7 merveilles du monde. Nous validons!! Personnellement, je mets le Machu Picchu dans mon top 5 des choses les plus jolies au monde que j’ai jamais vues: Claire, l’Everest, Petra, le Machu Picchu et l’Atacama/sud Lipez.
Il faut le voir…
Surtout que dans quelques années, le site pourrait être fermé au public et qu’on pourrait juste l’apprécier à partir de terrasses…
On espère charger rapidement les images époustouflantes de cette escapade, qui on l’espère, rentrera vite dans notre catégorie anecdotes de voyages… car nous sommes bien rentrés à Paris, mais avec 2 appareils au lieu de 3…
Le clip de nos 48h à Singapour, millésime 2011, est en ligne.
Vous allez voir, le style est radicalement différent de ce qu’on a pu faire jusqu’à aujourd’hui.
Alors comme d’hab’, il n’est pas dispo ici dans cet espace blog, mais dans la page vidéo.
Vous pouvez le retrouver ici directement (ou en cliquant sur l’image).
Depuis mi-août nous n’avons pas spécialement chômé… Tout d’abord nous sommes allés rendre visite à Caterina et Shawn sur leur lieux de vacances : La Sicile.
Nous voilà donc près de Marina di Modica à la pointe sud de l’île.On vous le dit tout de suite,ça ressemble fortement au Paradis. De longues plages de sable fin, des figuiers de barbarie sauvages, la garrigue, le soleil, la bonne cuisine de la mamma!
Et puis on était super heureux de retrouver nos amis de Rome que nous n’avions pas vu depuis février. Et là, on a rencontré toute la famille, les parents (le papa de Caterina a construit cette maison incroyablement accueillante et la maman en plus d’être une cuisinière à se damner est une ancienne star de la radio), les cousins (2 ados totalement craquants), le frère de Caterina et sa jolie famille, leurs amis, sans oublier le perroquet, la chienne et les tortues! Ouf, une vraie aventure on vous le dit!
Shawn et Caterina, sont nos amis du coeur, ceux que le hasard a permis de rencontrer. Que de rires partagés avec eux. C’est avec eux que nous avons tenté nos premiers timelapse, car il faut dire que nous partageons entre autres choses, la passion de l’image et du matériel photo…
On a hâte de les retrouver pour partager de nouvelles aventures videogéniques et photographiques. A priori ce serait le Sri Lanka et les Maldives vers le mois de juin prochain. En attendant que Maxime termine la vidéo de la Sicile, vous pouvez retrouver celle de Shawn ici.
Aujourd’hui, on va remonter dans le temps, pour arriver à l’année 2007.
En 2007, avec Claire nous ne nous connaissions pas encore: nous faisions encore tous les deux nos voyages dans notre coin. Claire faisait déjà ses voyages avec ses appareils photos, et j’allais débuter les miens caméra à la main.
2007, c’est donc l’année où les amis m’ont offert mon premier camescope, un Samsung Mini DV: j’étais comme un fou avec ce jouet!
Ah il en a vu des vertes et des pas mûres celui-là! En août 2008, il s’est mangé une boule de pétanque (il s’est pris pour le cochonnet…) mais il est toujours d’attaque!
Alors dès qu’il y avait une occasion, hop, le camescope était de sortie. Je l’ai emmené pour la première fois en voyage en Syrie, à l’automne 2007.
Mais c’est en Algérie, 2 mois plus tard, où nous sommes partis à 4 amis vers Djanet, que j’ai vraiment commencé à m’amuser avec cette petite chose. Et c’est en Algérie aussi où le concept de l’intro (faire tomber des objets) a commencé. D’ailleurs, pour la petite histoire de ces intros, c’est Claire qui a souhaité que nous continuions à faire tomber des objets en rapport avec les lieux traversés!
Voici donc cette vidéo sur une musique de Tinariwen (il faudrait d’ailleurs repasser un bon coup de stabilisateur à tout ça!).
Et voilà, 3 semaines après notre retour de Corse, le clip est terminé et en ligne.
Alors comme d’hab’, il n’est pas dispo ici dans cet espace blog, mais dans la page vidéo.
Vous pouvez le retrouver ici directement (ou en cliquant sur l’image).
De retour à Ménilmuch après notre périple sur les eaux bleues de la Méditerranée, il est temps de faire le récit de cette belle aventure. Samedi dernier, nous avons rejoint Myriam, Laurent, leurs enfants ( Eva, Titouan, Valentine) et leurs chiens (monsieur et madame Alaska et Diabolo de Courte Truffe) à Saint Raphael pour prendre la mer à bord d’un catamaran et rejoindre Calvi. Dimanche soir, c’est le grand départ, nous sommes aussi excités que les enfants! Nous effectuerons la traversée de nuit pour arriver à Calvi au petit matin, en espérant voir baleines et dauphins. A part Laurent, nous sommes tous des « primo-traversants » et novices de la voile.
Très vite le vent se lève face à nous, il faudra traverser au moteur, et ce ne sera pas de tout repos car nous sommes ballottés dans des creux d’un mètre, des clapots en tout sens. Voir la lumière baisser et les côtes françaises disparaître est très impressionnant, car bientôt la nuit est là et on est seul au milieu d’une mer agitée. Seul? Pas vraiment… En réalité, il y a un monde fou autour de nous, des ferry, des cargos, des bateaux de croisière, des plaisanciers… Nous apercevons leurs feux de mâts au loin et tentons de deviner leur route afin d’éviter toute collision! Une drôle d’ambiance s’installe, un bateau nous suivra presque toute la nuit. Des lampions décorent ce navire, et de loin, ainsi illuminé, il ressemble à un escargot géant. Avec ses 5 mâts, il s’agit probablement du bateau du club Med.
Enfin nous arrivons à Calvi après 13H de traversée, mais malheureusement sans avoir vu de cétacés. Cependant pas de déception, car la traversée nocturne est à elle seule une aventure! En arrivant dans la baie, tout le monde est sur le pont pour la manoeuvre de mouillage, il faut jeter l’ancre, et contrairement à ce que l’on croit, cela ne se fait pas en 5mn…Puis il faudra 2 voyages en annexe (le zodiac qui nous permet de rejoindre la terre ferme) pour que tout le monde (toutous compris) puisse visiter Calvi. Nous reviendrons de cette visite chargés de délicieux produits locaux acheté chez Annie traiteur. On vous recommande vivement cette adresse!
Mardi matin nous levons l’ancre, cap sur la Girolata (petit village uniquement accessible par bateau)en passant par la réserve marine de Scandola. Les paysages réjouissent notre regard, le soleil est au RDV et le vent est tombé, ce qui a pour conséquence de nous obliger à voguer au moteur, mais au moins, cela nous repose de la mer agitée de la veille. Nous trouvons une petite crique après le village de la Girolata, il s’agit de la baie d’Elbo. Un petit mouillage paradisiaque avec une plage peuplée de cochons peu sauvages. Mais d’abord vite les palmes!
Nous nous réveillons avec un roulis annonciateur d’une journée agitée… Et nous ne serons pas déçus! Nous mettons cap vers Sagone avec un vent force 5, et un clapot infernal. Myriam est malade, Valentine n’en mène pas large et même Titouan et Eva ne sont pas à la fête. Quant aux deux limiers ils regrettent l’herbe verte de leur jardin! Au moins nous pourrons mettre les voiles! mais à chaque passage de cap, le vent change, passe de face, et nous oblige à remettre le moteur. Puis, à nouveau change, et il faut remonter la voile. Et ainsi de suite. Une fois arrivés, il faut trouver une place. Préparer le déjeuner (Il est 15H…). Ensuite, tout le monde dans l’annexe direction la plage. Puis revenir, préparer le dîner, et avant de se coucher sortir les toutous une dernière fois, avec l’annexe bien sûr! Inutile de préciser qu’avec un tel rythme, on dort merveilleusement bien la nuit!
Jeudi matin, le vent est toujours là et Myriam prend la barre avec une houle de 2m! Sensations fortes garanties. Les enfants sont ravis de s’accrocher au filet du trampoline à l’avant du catamaran. Je les rejoins et c’est parti pour les montagnes russes. On est trempé, mais quelle rigolade et quelle incroyable sensation de s’envoler! Nous passons au larges des sanguinaires, ces quatre îlots disposés en sentinelles à l’entrée du golfe d’Ajaccio, le spectacle des vagues se brisant avec écume et fracas ne peut qu’impressionner.
A Ajaccio il faut refaire le plein de gasoil, d’eau, puis trouver une place pour passer la nuit. Le bateau ce n’est vraiment pas de tout repos! La semaine a passé à toute allure et déjà la fin sonne pour nous. Après une courte soirée en ville nous devrons rentrer à Paris le lendemain. Myriam, Laurent et les enfants continueront en direction de Bonifaccio, puis entameront la boucle retour. On leur dit merci de nous avoir fait partager ces moments forts et on leur souhaite bon vent!
Et vous pouvez retrouver les photos ici.
Nous sommes dans les startings blocks, puisque dans 45 minutes maintenant nous devons rallier Nice puis St Rapahel où nous attendent des amis et leurs enfants et leurs toutous… car notre escapade de juin va nous mener en Corse! Et pas pour 48h, mais pour 120h!
Alors pourquoi St Raphael? Car nous allons partir du port, embarquer dans un catamaran de toute beauté et rejoindre la Corse dans la nuit de dimanche à lundi…
Et voilà la bête à voile qui va nous conduire à l’île de Beauté:
Y’a même un trampoline à l’avant pour faire les fous avec les toutous!
Quant à l’intérieur, on vous laisse juger…
Et on ne va pas dormir sur le pont, non non non s’il vous plaît! Il y a des cabines superbes aussi:
Alors forcément, nous sommes excités comme des puces, car lundi au petit matin, lorsque nous apercevrons au loin le phare de l’île Rousse, nous aurons peut-être la chance de voir les baleines…
En attendant, il nous faut rallier St-Raphael et chargés comme jamais… et avec du nouveau matériel et plein d’accessoires sympathiques pour le futur clip…
Et voilà la vidéo de nos 48h à Madagascar !
Nous y sommes partis fin avril, on est début juin : un bon mois plus tard. Ca reste raisonnable surtout que le mois de mai a été agité !
Alors dans le blog, on ne mettra plus les vidéos car elles sont préparées dans des pages dédiées, avec les articles qui vont avec. On préviendra juste, comme cet article, de la disponibilité de la vidéo.
Qui dit nouvelle vidéo dit nouvelle carte en « Home ».
Le point rouge sera dorénavant celui de notre dernière escapade. Et comme la carte est en flash, pour voir l’actualisation avec le point rouge, il faudra actualiser la page voire vider le cache de votre machine.
Donc pour voir le clip de Madagascar, ç’est soit :
– ici
– dans le menus « videos »
– le point rouge sur la carte
Et bien sûr, pour le reportage photo de Claire sur Madagascar, ça se passe ici !